Entre deux pores deux taches brunes sur une coulée d’huile de vidange sur les bandes surexposées du fleuve sous la quille d’un bateau de croisière hors d’eau entre ses dérives aériennes à l’aplomb des sacs plastiques et mégots du marché à l’à pic de deux trajectoires d’avion entre les impacts de gomme à mâcher au sol ou une hémorragie trouée là dans la lettrine éteinte d’une enseigne sur les creux plissés du cou le sillon brillant du front entre les crevasses des phalanges le pli d’une aine les bulles d’eau des tissus par les fossettes du sourire l’élasthane du tissu par la projection intérieure de ce qui doit rester tu derrière l’amas profond adipeux au travers de mycoses claires à la lune salées au goûter accolées aux mèches aux franges aux yeux troués de ciel aperçus derrière une baie encadrés de noir au-dessus de seins sous chandail blanc où est la matière et même en-dehors par l’échelle les cryptes les champignons séchés les jus extraits mis en fiole sous la langue la main la vergeture l’entaille le tulle l’ecchymose le furoncle la gaze vit le temps
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