Il a beau photographié des corps de femmes nues consentantes à pauser ainsi démunies, comme il le dit lui-même, « le sexe féminin fascine l’homme car il a beau le regarder, il ne le voit pas, il ne l’a jamais vu, il est sidéré » ; il a beau suscité des réactions tranchées, voire défiantes, chez certaines femmes qui par solidarité spontanée de genre se rangent aux côtés de ces vénus anonymes dénudées ; il a beau évoqué le parcours de sa famille sous l’Occupation, inséré des photos extimes dans les livres qu’il édite avec le soin du professeur d’arts plastiques qu’il est ; je vous le dis tel que je le ressens : Jacky Chriqui est un homme d’une infinie pudeur.
Pour lire l'intégralité du portrait (écrit et photographique) : Téléchargement jacky_chriqui_la_vie_extime_des_gens_intimes.pdf
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